Un soir j’étais tout excité car ma technique de drague avait marché. Ma belle sirène m’a accordé son attention et son amour ; tout allait bien jusqu’au soir du réveillons communément appelé le 31 décembre chez nous au Mali.
Nous avons passé les premières heures ensemble, ensuite la deuxième heure. Comme le dit les amis, la période intéressante de la soirée. J’étais tout content et sûr de moi. La belle demoiselle bien habillée, tellement sexy, Ce qui m’envoyait déjà au septième ciel. Il est l’heure d’aller à l’essentiel, je suis à fond ; dans tous mes états avec une température abordable. Tout était parfait jusque-là. Lors du match Je n’ai pas pu faire grande chose. Hélas ! Il est venu plus tôt que d’habitude. J’étais mal barré, Dans le feu de l’action il est difficile de faire face au regard insatisfait et déçu d’une belle demoiselle.
J’ai pris mon courage à deux mains en présentant mes excuses dans l’humour (au fond de moi j’avais honte.). Le lendemain, je me suis posé assez de questions dont je n’avais la réponse. A savoir qu’est ce qui m’était arrivé, pourquoi et comment expliqué ce fait ? Après avoir rencontré un médecin j’ai eu des réponses à mes questions.
Il dit : « l’éjaculation précoce est un trouble sexuel ; un homme est touché par ce trouble sexuel lorsqu’il n’a pas de contrôle possible sur son éjaculation, qui survient moins d’une à trois minutes après la pénétration, et que sa partenaire n’a pas le temps d’être satisfaite. Ce trouble doit être souciant lorsqu’ il est répétitif. Ces causes sont variées : elles peuvent être psychologiques, comportementales, neurobiologiques ou génétiques. Il y’ a l’éjaculation précoce primaire qui est présente à chaque rapport, avec des partenaires différentes, durant toute la vie. (La première fois ne dure normalement pas par exemple) Ensuite, l’éjaculation précoce secondaire ou acquise qui apparaît alors qu’elle n’était pas présente lors des précédents rapports sexuels. Elle est généralement associée à une maladie sous-jacente comme une prostatite, un trouble érectile ou neurologique, ou à un problème psychologique.
Les causes exactes sont toutefois inconnues. Plusieurs facteurs biologiques pourraient favoriser ce trouble, notamment : une hypersensibilité du gland, une hyperexcitabilité du réflexe d’éjaculation, des troubles de la transmission des messages nerveux dans le cerveau ou une hypersensibilité de certains récepteurs nerveux (notamment les récepteurs à la sérotonine), une inflammation de la prostate (prostatite chronique), des anomalies de la glande thyroïde (hyperthyroïdie), une maladie neurologique…»
Si je comprends bien, mon cas était juste psychologique car j’étais assez exister et surtout presser. (Quand on espérait avoir du bronze, après tout espérance qu’on ait de l’or). Il apparaît évident que certains facteurs psychologiques et environnementaux ont également un rôle à jouer, Puisqu’on était dans ma chambre, les parents dans la maison que nous avons accéder en cachette. Avec toute cette pression et la volonté d’impressionner ma sirène je ne pouvais qu’échouer.
D’ après le docteur : « une relation sexuelle doit se faire avec un esprit tranquille des deux partenaires pour réduire les risques de trouble sexuelle et dans un environnement adéquat. Lors d’une activité sexuelle, il est donc important d’instaurer des préliminaires qui vont rendre le climat conjugal moins pesant, détendre les deux partenaires, rendre la femme plus réceptive et éviter à l’homme une pénétration trop rapide. On peut aussi recommander au couple d’avoir un égoïsme partagé, où chacun pense à son plaisir au lieu d’être entièrement en attente de l’autre. Car lorsqu’une femme a du plaisir, cela rassure son mari et le déstresse aussi ».Je suis rassuré maintenant. Et à charge de revanche, ‘’si elle m’accepte encore ‘’
Une vie meilleure pour chaque jeune !
